Édito

       Bien que la mort de la forme existe, celle de l’être n’existe pas. La mort n’est pas une anomalie ni l’évènement le plus terrible de tous, comme la culture moderne voudrait nous le faire croire. C’est la chose la plus naturelle au monde, qui est inséparable de son contraire la naissance.

Par contre la mort, ou la destruction de notre planète serait de payé très cher notre inconscience, si nous les locataires de ces lieux n’arrêtons pas de la détruire. Confronter à une telle possibilité, la plus part des gens préfèrent éviter de considérer sérieusement ce qui se produirait si nous continuons d’ignorer les signaux d’alarmes dont l’écho se fait partout entendre depuis plusieurs années déjà. Si nous continuons bêtement à contribuer à chaque jour à la destruction apparemment inévitable de notre environnement mondial, ce sera le prix à payer pour la destruction de notre véhicule physique.

Il ni a qu’un moyen d’éviter cela, c’est un changement radical des consciences, et par l’éducation de masse. Cette conscience de masse fera en sorte que les grandes nations si puissantes, qui traitent avec mépris de telles idées deviendront moins orgueilleuses et moins auto suffisantes. Leurs aveuglements à cette vérité seront graduellement changés.

La population du monde ne peut se diviser en deux catégories; ceux qui rivalisent et ceux qui coopèrent. Cette affirmation donne la mesure de ce qui est en jeu actuellement, et montre que le monde est prêt pour le changement. La réussite viendra de ceux qui réalisent que la seule voie vers la réussite vient de ceux qui sont prêt à coopérer.

Voila la réponse à notre avenir.

Que la Conscience prenne son expansion sur terre.

Printemps à Kulu
cliquer pour agrandir